La gloire de l’agneau
En ce dernier dimanche de l’année liturgique, l’Église est comme tendue vers le terme de l’histoire, et fête le Christ, Roi de l’univers.
En ce dernier dimanche de l’année liturgique, l’Église est comme tendue vers le terme de l’histoire, et fête le Christ, Roi de l’univers.
La boutique de l’abbaye Ste Anne de Kergonan lance deux nouveaux moyens de vente : une vente à emporter et une boutique en ligne.
Parce qu’il est homme et Dieu, Jésus voit dans le combat, le bonheur éternel déjà présent. Plus encore ! Non seulement il le voit, mais il le vit. Et c’est pourquoi il peut en parler en vérité.
Que se passe-t-il à l’abbaye pendant que toute la France est confinée contre l’épidémie ?
Comment percevons nous la Loi de Dieu ? Un corset qui nous brime ? Un garde fou qui nous protège ? Un boulet que l’on traîne et qui parfois nous arrête ou nous écrase? Bref une gêne pour notre liberté qui nous empêche de jouir de la vie ?
L’Évangile de l’impôt dû à César n’est-il pas toujours d’actualité ? En ce temps où sont imposées des règles sanitaires de sécurité qui briment les libertés, et alors que sont programmées des lois bioéthiques qui offusquent la conscience morale, Jésus nous dit à la fois que le pouvoir politique est légitime, mais que la primauté revient au spirituel.
Ce lieu dans lequel les moines passent tant d’heure par jour n’est rien moins que la Maison de Dieu, son Temple saint. Il s’agit donc d’un lieu éminent de rencontres entre Dieu et ses créatures raisonnables. Il s’agit d’un lieu où l’on sait que l’on trouvera Dieu présent, attentif, silencieux.
ces êtres merveilleux travaillent au salut du genre humain conformément à ce que le Christ vrai Dieu et vrai homme qu’ils servent, leur commande. Puissions-nous accueillir leurs suggestions à travers la lumière qu’ils communiquent afin de mener, nous aussi le bon combat.
Le service est finalement le signe distinctif de ceux qui œuvrent pour le Royaume de Dieu. Car le service dit l’amour, or c’est à l’amour que nous aurons les uns pour les autres, que l’on reconnaîtra que nous sommes au Christ.
Je veux donner au dernier venu autant qu’à toi. C’est ainsi que les derniers seront premiers, et les premiers seront derniers.