Homélies
Un service sans limite (Jeudi Saint 2020)
Il n’y a pas de limite au service que nous devons nous rendre les uns les autres.
Il n’y a pas de limite au service que nous devons nous rendre les uns les autres.
Se laisser instruire rend capable d’aller plus loin dans le service du prochain, et même d’aller beaucoup plus loin, comme le montre la vie entière de Jésus !
Première cuvée du jus de pommes pressé chez les frères !
13 mars : Prolongation de la fermeture de l’église Le préfet du Morbihan a a prolongé les dispositions interdisant les rassemblements dans les communes les plus proches du foyer morbihannais de l’épidémie actuelle, dont Plouharnel. Il nous faut donc prolonger la fermeture de l’église de l’abbaye. La crypte de notre Lire la suite…
Découvrez quelques photos de l’avancement du chantier de l’hôtellerie à la ferme de l’abbaye : 20 mars 2020 Découvrez quelques photos de l’avancement du chantier de l’hôtellerie à la ferme de l’abbaye : 1er mars 2020 Le nouvel escalier ! une chambre des combles
Du plus profond de nos cœurs, chacun de nous aspire à la paix. C’est pour ainsi dire une attirance innée. Paix pour soi, paix pour nos familles, paix pour le monde que nous habitons, paix pour ceux qui nous succéderont. Figurez-vous que cette paix trouve singulièrement à s’épanouir au temps du carême. Mais l’homme n’est pas le seul à porter cette aspiration ! La nature aussi y aspire, d’une certaine manière. Et c’est pourquoi la nature peut nous parler, à sa manière, du carême.
La perfection chrétienne est une éthique du devenir. C’est progressivement que nous imitons la perfection du Père et que nous devenons véritablement ses fils dans notre façon d’être et d’agir.
Ils sentent en effet que Jésus leur délivre un enseignement nouveau, non en faisant constamment référence à Moïse, le législateur d’Israël, mais en parlant avec autorité c’est-à-dire en son propre nom.
Une vie n’est-elle pas un tissage de rencontres ? Arrêtons-nous un peu sur cette rencontre-là.
Le troisième dimanche du temps ordinaire, notre Pape François a récemment voulu l’instituer comme « dimanche de la Parole de Dieu ». Il l’a fait par un très beau texte, dont les premiers mots citent la fin de l’évangile selon saint Luc (24, 45) : « Alors il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures ».