« Ce que tu as amassé, qui l’aura ? »
Nous le savons, l’argent ne fait pas le bonheur, mais nous pensons secrètement : il y contribue. Nous désirons avoir plus pour être plus heureux. Que nous dit Jésus dans l’évangile d’aujourd’hui ?
Nous le savons, l’argent ne fait pas le bonheur, mais nous pensons secrètement : il y contribue. Nous désirons avoir plus pour être plus heureux. Que nous dit Jésus dans l’évangile d’aujourd’hui ?
Fêter sainte Anne, c’est fêter une réalité particulière. Si les créatures se différencient c’est par les actions de leur vie terrestre, par ce qu’elles transmettent, et aussi par leurs origines. C’est à ces titres et sous ces angles de vue que sainte Anne peut nous parler aujourd’hui, à notre époque, dans notre temps.
Le mystère de la Sainte Trinité est au cœur de la vie chrétienne. Le baptême est administré « au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit ». L’Eucharistie fait vivre de cet amour trinitaire que Jésus nous a révélé dans le discours après la Cène.
Toutes les volutes de tous nos encens, toutes les melismes sublimes de tous nos chants sacrés, toutes nos adorations vertueuses et silencieuses convergent vers une même réalité visible que les apparences condamnent et décrivent comme « un morceau de pain muet ».
Deux mille fois célébré, ou peut-être même beaucoup plus, l’Esprit saint a-t-il encore un mot à dire, un angle mort à mettre en feu, une parole à glossifier1 ? Et comment une Personne sans visage pourrait-elle parler la langue d’une humanité qui ne sait même plus le sens des mots qu’elle emploie si souvent par mimétisme ?
« Je suis une petite chose ». Ainsi s’est présenté notre frère Yves-Marie voici quelques mois, à une personne de confiance avec laquelle il s’entretenait. Dimanche dernier alors que la messe venait de commencer à l’abbaye, le Seigneur est venu chercher « sa petite chose » sur les coups de dix heure un quart.
« Comme je vous ai aimés, aimez-vous les uns les autres ». Avant sa mort, Jésus nous a laissé son testament qu’il résume dans l’amour. « Ayant aimé les siens qui étaient dans le monde, Jésus les aima jusqu’au bout ». Ce qu’il nous laisse c’est un amour qui dure, qui n’est pas sujet au changement, aux éclipses.
« Viri Galilaei, quid admiramini aspicientes in caelum ? » : Hommes de Galilée, pourquoi cet étonnement et ces regards tournés vers le ciel ?
Franchement ! les anges ont parfois de ces questions !
De nouveaux produits à retrouver au magasin de l’abbaye Sainte-Anne de Kergonan !
Chaque année, frères et sœurs, la liturgie du quatrième dimanche de Pâques nous invite à méditer sur la figure du bon Pasteur. Il est courant, dans l’Écriture, de comparer le peuple de Dieu à un troupeau que le Seigneur confie à des bergers. L’évangile de dimanche dernier, déjà, faisait appel à cette image.