Une mort injuste… (Vendredi Saint 2020)

Cette ressemblance avec la mort du Christ sur la Croix est tout à fait mystérieuse. Condamné injustement par les grands-prêtres, abandonné de tous ses disciples, Jésus subit le supplice de la croix qui s’achève par l’asphyxie. Puisse l’humanité consentir au salut que Dieu lui a acquis au prix du sang de son Fils unique, Jésus-Christ notre Seigneur et notre Dieu.

Apprendre à désirer la paix

Du plus profond de nos cœurs, chacun de nous aspire à la paix. C’est pour ainsi dire une attirance innée. Paix pour soi, paix pour nos familles, paix pour le monde que nous habitons, paix pour ceux qui nous succéderont. Figurez-vous que cette paix trouve singulièrement à s’épanouir au temps du carême. Mais l’homme n’est pas le seul à porter cette aspiration ! La nature aussi y aspire, d’une certaine manière. Et c’est pourquoi la nature peut nous parler, à sa manière, du carême.

Le Dimanche de la Parole de Dieu

Le troisième dimanche du temps ordinaire, notre Pape François a récemment voulu l’instituer comme « dimanche de la Parole de Dieu ». Il l’a fait par un très beau texte, dont les premiers mots citent la fin de l’évangile selon saint Luc (24, 45) : « Alors il ouvrit leur intelligence à la compréhension des Écritures ».

La révélation du Verbe silencieux

il y a un contraste saisissant entre ce bouleversement de Jean et ce qui la provoque : Jésus, en effet, ne prononce pas un seul mot et ne fait rien, sinon de venir tout simplement vers lui. Voilà ainsi que celui qui nous est révélé comme le Verbe, la Parole faite chair, vient se fait reconnaître en Jésus, se dévoile dans cette première rencontre qui est aussi la première manifestation de sa gloire… dans un complet silence ! Y aurait-il dès lors un lien intime entre ce silence paradoxal du Verbe incarné et la révélation de sa gloire ?

rois mages

La cour royale de Jésus

Depuis la naissance de Jésus dans une étable, plusieurs visages se sont tournés vers lui. Il y eut tout d’abord sa Mère, la Vierge-Marie, qui la première, a pu contempler son enfant-Dieu et le regarder avec une infinie tendresse. Joseph aura sans doute été le second, avec la discrétion qui le caractérise et qui se traduit par cette délicatesse infinie de toujours désirer s’effacer devant Dieu et son dessein.